En Route Vers La Calamuchita Et LAdultère.
Nous voyageons depuis quatre jours et ce matin nous quittons San Luis. Superbe journée ensoleillée à 8h il fait déjà 26°. En route pour le sud de Cordoba et la vallée de la Calamuchita. La route sinueuse longe une rivière ombragée par les eucalyptus et les poivriers. Après quelques kilomètre le GPS nous prévient de prendre à droite la piste que nous avons prévue pour couper au plus court, traverser les cierras, et profiter dun paysage qui promet. Le 4*4 sera bien utile. Mais avant, JF arrête la voiture pour prendre un stoppeur. Je naime pas trop, mais bon pour une fois, et de plus sur ces chemins de montagne deux bras supplémentaires pourraient être utiles pour sortir de passages délicats. Un jeune homme plutôt beau garçon presque timide, brun ténébreux. On se présente rapidement pendant que la piste monte et quitte le paysage verdoyant de la plaine pour laridité minérale de la montagne. Julio est étudiant à Cordoba.
Il ponctue le silence pour nous indiquer quelques points particuliers du paysage ou nous questionner sur notre vie argentine.
Après quelques virages un peu serrés, le chemin, moins cahoteux, semble devenir plus rectiligne entre les énormes pierres de lave. JF monte le son du CD quil avait éteint lors de larrivée de notre passager. Sa main prend la mienne posée sur ma jupe. Il me cajole puis ses doigts glissent sur le tissu, puis vers mon genou. Je me redresse et le retiens un peu. Il reprend ses deux mains pour les passages sinueux puis sa paume revient sur ma peau. Plus insidieux, ses doigts sécartent, se joignent et glissent. Cest doux, je profite du paysage et des caresses discrètes et sages. Après quelque temps je maperçois que ma jupe à glisser et que la main de mon mari dévoile peu à peu mes cuisses. Je rectifie la tenue, me retourne pour une question banale à Julio et vérifie la direction de son regard. Assis au milieu de la banquette arrière, il semble bien quil fixe ostensiblement mes jambes.
Il a défait un bouton de la jupe pour mieux envelopper ma peau et découvrir dans le même temps la moitié de mes cuisses alors que je sais maintenant que Julio observe. Je laisse faire. Je souris intérieurement en imaginant les pensées de notre stoppeur.
JF range la voiture pour nous permettre de profiter du paysage. La température extérieure a bien changé, je me blottis contre mon mari. Rapidement de retour au chaud, on repart. Je me saisi de sa main quil allait poser glacée sur ma cuisse. Une fois réchauffée, je la serre entre mes jambes, avant quil nentreprenne à nouveau de défaire le bouton que le froid mavait fait refermer. Cette fois il saventure plus haut, beaucoup plus haut et je frémis. Tout de même, que fait-il ? Que veux-t-il ? Il nignore pas les regards de Julio. Jai déjà remarqué quil observait notre passager dans le rétroviseur. Je suppose que Julio peut voir jusquà mi-cuisse, le siège masquant le reste. Mais il peut voir mes mouvements et entendre mes gémissements retenus. La situation devient étrange. Mon mari mexcite, ses doigts maintenant sur mon sexe, tout en laissant Julio comme témoin. Je me sais observée et comme exhibée par mon mari. Je voudrais que JF arrête mais je ne fais rien pour, au contraire peut être, je glisse sur mon siège pour mieux profiter et donner davantage de mes cuisses aux yeux de Julio. Je suis excitée, par cette situation inédite, lauréole sur ma culotte en témoigne. Je me relève pour mettre un semblant dordre à ma tenue, baisse le pare soleil pour vérifier mes cheveux dans le miroir et observer notre compagnon de route. Je suis certaine de son trouble.
Un temps de calme bienvenu pour laisser au chauffeur le temps de négocier quelques passages cahoteux de la piste et éviter quelques éboulis.
Personne en cette saison, en semaine. La patronne nous installe et papote avec Julio quelle connait. Je reste sous mon étonnement, mes émotions, mon trouble. Jai le sentiment quil en est de même pour les trois voyageurs.
Assise à côté de mon mari et face a Julio je prends le temps de le détailler. Il me sourit ses yeux semblent me dire son trouble et un désir que je refuse de lire. Plus tard son pieds touche le mien que je recule, il lavance encore, je ne bouge plus. Ce contact me fait frissonner. Je prends conscience que je lui plais et jen reste troublée. On parle peu sauf des paysages comme pour oublier ce qui se passe.
Ce garçon est beau, je soutiens ses regards de désir. Je suis aussi dans lexcitation. Mon sexe toujours humide depuis ce trajet bizarre. Lépouse perd son équilibre, ses repères. Je me sens attirée physiquement par ce jeune homme et comme libérée par cette exhibition voulue par mon mari. Je suis fébrile, et ne pense quexcitation.
Je vais aux toilettes, il serait temps de se calmer. Un tit pipi et un peu deau fraiche sur le visage devrait remettre les idées en place.
Quand je sors, Julio mattend, il saisit ma main et mentraine au travers des cuisines puis du salon des propriétaires avant datteindre une terrasse au soleil avec une vue incroyable sur le paysage de lave et de minéraux. « Regarde, cest fou nest ce pas ! » Il est dans mon dos, ses mains sur mes épaules. Je sens son souffle dans mon cou. Ses mains se ferment sur ma nuque il dépose un baiser derrière loreille. Frisson garanti. Les compliments pleuvent alors, non plus sur le paysage mais sur mes jambes, ma poitrine quil a deviné, mon visage, mon sourire, mes épaules, mes fesses
Pas envie de résister même si je sais que cest une folle bêtise que je vais faire. Notre désir est impulsif et incontrôlable. Un instant de lucidité : « arrête ! Si mon mari venait ? » Julio répond « ne tinquiète pas Dorita, la patronne sen occupe » Je ne réfléchi plus, trop attirée par la raideur du membre de mon futur amant que je mesure au travers des tissus qui nous séparent encore. Il pelote mes seins, je me cambre pour lui tendre et que son sexe se bloque dans mes reins. Urgence, violence presque. Je vais tromper mon mari. Je ne peux résister, pire jai envie du sexe de Julio, envie dêtre prise.
Je ne le garde pas longtemps, il faut retourner et paraitre
Il se retire encore bien raide.
Ma petite culotte souillée restera sous le pot de géranium du balcon, souvenir de mon adultère.
JF sétonne de la durée de mon absence, je parle de la vue extraordinaire depuis la terrasse en bredouillant. La patronne dévie habillement la conversation. Julio revient à son tour, un peu trop tôt sans doute, et son regard inquiet, tête basse vers mon mari, ne me rassure pas.
Quelques minutes plus tard nous prenons congé, cest à peine si jose rendre a Julio son abrazo et plus maladroit encore, il lance : « il y a longtemps que vous êtes mariés ? ». Je mengouffre dans la voiture laissant JF répondre et simule une grande fatigue, bien calée dans la voiture, pour dormir sur la route de Santa Rosa, Julio, lui, continue vers Cordoba.
Ma libido sera délirante et débridée les jours et nuits suivants. JF sétonnera de la griffure sur ma fesse et de mon entrain sexuel
Un doute ?
Souvenir ressuscité de 2008, un adultère ou le prélude aux autres aventures voulues et choisies en commun ? En tout cas aujourdhui cest révélé
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